Création

Je n’ai pas passé un jour sans t’aimer

vendredi 22 octobre 2021
20h45

Athénée - Le Petit Théâtre de Rueil
Tarif unique : 20€

CRÉATION

Bicentenaire de la mort de Napoléon
Avec Christophe Charrier (Napoléon), Chloé Froget (Joséphine) et distribution en cours
Mise en scène Chloé Froget et Christophe Charrier

Alors qu’il livre bataille dans toute l’Europe, Napoléon Bonaparte écrit sans cesse à Joséphine. Plus de 250 Lettres, de leur première rencontre (1795) jusqu’au décès de l’Impératrice (1814). Une correspondance ne faisant pas mystère de leurs sentiments. Des lettres jamais neutres, témoignages d’un amour passionnel puis, au fil du temps, de leur amitié sincère.
Et même si nous ne possédons que peu de Lettres de Joséphine en retour, les nombreuses missives adressées à sa famille, à ses amis et amants ne cachent rien de leurs relations amoureuses mais aussi des peines et des tourments du couple.

Christophe Charrier et Chloé Froget nous font partager leur intimité. Extraits :
– « Je me réveille plein de toi, écrit le jeune général (20 ans), fou amoureux. Ton portrait et l’enivrante soirée d’hier n’ont point laissé de repos à mes sens. »
– « Cruelle ! Pourquoi m’avoir fait espérer un sentiment que tu n’éprouvais pas !!! »

Et même quand les relations se font plus rares… « Ne perdez jamais le souvenir de celui qui ne vous a jamais oubliée et ne vous oubliera jamais ». Et comme une confirmation, l’Empereur, avant son départ en exil à Sainte-Hélène (1815), reviendra une dernière fois à la Malmaison (acquise par Joséphine de Beauharnais quinze ans plus tôt).
« Comme tous ces lieux me la rappellent. Je ne puis me persuader qu’elle n’est plus ici. »

Une fascinante correspondance qui couvre près de vingt ans de l’Histoire de France.

Création à partir de nombreux ouvrages et notamment Napoléon & Joséphine.
Correspondance, lettres intimes. Textes réunis par Jean-Michel Laot.
Préface Bernard Chevallier. Editions SPM / Pierrelongue
et Les lettres ardentes de Napoléon à Joséphine. BNF Gallica.

Nos remerciements à Marie-Paule Deheyn et Jean-Paul Mouron pour les costumes et à Laurence Inçaby pour son aide précieuse.

 

Compagnie Le Jeu du Hasard